jeudi 28 novembre 2019
Opéra Garnier (3)
Poursuivons notre visite à l'opéra Garnier
(Vous pouvez cliquer sur les photos pour les voir en plus grand)
Nous rentrons dans la salle de spectacle, un grand moment pour moi !
Quelques accès à la salle
En forme de fer à cheval, elle peut accueillir 2054 spectateurs. Sa structure métallique est masquée par le marbre, le stuc, le velours et les dorures
Le lustre de bronze et de cristal pèse 8 tonnes, et est équipé de 340 lumières
Le plafond a été peint par Marc Chagall et inauguré en 1964
Puis vient le grand foyer
De là, nous passons sur la belle loggia située sur la façade de l'Opéra
et qui donne sur la place et l'avenue de l'Opéra
Le salon du soleil et le salon de la lune
Partout, dans les salles et les couloirs, les sols sont très beaux. En voici un échantillon
Au détour d'un couloir, quelques costumes de scène de ballets et d'opéras, étaient exposés
Le grand vestibule où trônent les statues des quatre compositeurs Rameau, Lulli, Gluck et Haendel, conduit ensuite vers la sortie.
Ce fut une superbe visite. j'ai beaucoup aimé ! Je vous en ai montré un peu de mes multiples photos.
J'aurai encore le musée d'Orsay à vous montrer, mais ce sera en 2020 ! Car décembre arrive, et je publierai comme tous les ans poésies et contes de Noël
lundi 25 novembre 2019
Opéra Garnier (2)
Nous rentrons maintenant à l'intérieur de l'Opéra.
Je vous recommande cette visite si vous allez à Paris, c'est superbe.
Même si vous n'aimez pas particulièrement la danse ou la musique, peu importe, car à part quelques statues de danseuses ou de chanteurs et musiciens, rien à voir. C'est tout simplement splendide au point de vue architecture et décorations ! Nous ne nous attendions pas à voir tant de choses.
En voici un petit raccourci !
(Les photos ne sont pas forcément toutes très nettes, mais c'est parce qu'il y a beaucoup de lumières. Vous pouvez cliquer dessus pour les voir en plus grand)
De là on découvre le grand escalier et la somptueuse nef de trente mètres de hauteur. Cette nef, bâtie en marbres de diverses couleurs, abrite les degrés de l’escalier à double révolution qui mène aux foyers et aux différents étages de la salle de spectacle.
Là aussi, un artiste (le même?) a dénaturé l'escalier avec ces pneus dorés. Je ne suis pas du tout sensible à cette forme d'art !
Mais tout le reste est superbe !
En bas de l’escalier, deux allégories féminines tenant des bouquets de lumière, accueillent les spectateurs.
le plafond de la nef
L'avant-foyer donne sur le grand escalier. Sa voute est couverte de magnifiques mosaïques sur fond d'or
Nous pénétrons maintenant dans le salon du glacier
Quelques bustes de danseuses
La prochaine fois, nous verrons le grand foyer et la salle de spectacle
Je vous recommande cette visite si vous allez à Paris, c'est superbe.
Même si vous n'aimez pas particulièrement la danse ou la musique, peu importe, car à part quelques statues de danseuses ou de chanteurs et musiciens, rien à voir. C'est tout simplement splendide au point de vue architecture et décorations ! Nous ne nous attendions pas à voir tant de choses.
En voici un petit raccourci !
(Les photos ne sont pas forcément toutes très nettes, mais c'est parce qu'il y a beaucoup de lumières. Vous pouvez cliquer dessus pour les voir en plus grand)
Le Palais Garnier est un théâtre
national à vocation lyrique et chorégraphique. Il abrite une salle
de spectacle prestigieuse et des espaces publics (grand foyer,
rotonde des abonnés, salons), une bibliothèque-musée ainsi que
plusieurs studios de répétition et des ateliers.
On débute la visite par la rotonde des abonnés, et le bassin de la Pythie, où les superbes sculptures sont, à mon avis, hélas gâchées par un artiste qui a joué de couleurs aveuglantes. Pas du tout à mon goût, alors que l'endroit est si beau !
De là on découvre le grand escalier et la somptueuse nef de trente mètres de hauteur. Cette nef, bâtie en marbres de diverses couleurs, abrite les degrés de l’escalier à double révolution qui mène aux foyers et aux différents étages de la salle de spectacle.
Là aussi, un artiste (le même?) a dénaturé l'escalier avec ces pneus dorés. Je ne suis pas du tout sensible à cette forme d'art !
Mais tout le reste est superbe !
En bas de l’escalier, deux allégories féminines tenant des bouquets de lumière, accueillent les spectateurs.
le plafond de la nef
Nous pénétrons maintenant dans le salon du glacier
Quelques bustes de danseuses
Carlotta Grisi Marie Taglioni
Marie-Madeleine Guimard Marie Fel (chanteuse)
jeudi 21 novembre 2019
Opéra Garnier (1)
Lors de mon séjour à Paris, je suis allée visiter l'Opéra Garnier, mon rêve de toujours depuis que j'avais commencé la danse classique !
J'avais déjà aperçu l'extérieur lors de mes courts passages à Paris pour aller à Lisbonne et à Vienne, ma fille habitant pas loin de là. Cette fois-ci, j'ai visité l'intérieur. Pas de ballet de programmé à ce moment, malheureusement, ça aurait été le summum, mais c'était déjà une belle émotion de visiter ce lieu et sa salle de spectacle !
En 1860, un concours international est lancé pour l'édification de "l'académie impériale de musique et de danse", commandée par Napoléon III. Charles Garnier l'emporte en mai 1861 parmi les 171 architectes y participant.
En janvier 1875, l'opéra est inauguré par le président Mac Mahon (Napoléon III est décédé 2 ans plus tôt) Il devient la pièce maîtresse du nouveau Paris Hausmannien
la poésie |
la musique instrumentale |
la danse et le drame lyrique |
A côté de là, nous avons fait un tour sur la place Vendôme et ses grands joailliers.
Il y a un bijou, parmi les gros bijoux clinquants et hors de prix des vitrines, qui m'a beaucoup plu
Il est fait pour moi, n'est-ce-pas ? Une danseuse-fée ! Mais pas du tout pour mon budget !! Il est vrai que ce ne sont pas de simples strass qu'il y a sur ses habits et ses ailes ! On peut toujours rêver !
et une belle vitrine de Guerlain
La prochaine fois, je vous envoie à l'intérieur de l'Opéra.